lundi 22 septembre 2014

Randonnée Auvergne


RANDONNÉE HISTORIQUE "AUVERGNE" 2014
vendredi 22 août au mardi 26 août 2014     

Les secrétaires !
 Pour NAR, ce fut une première. 
Pour la première fois, une sortie était organisée en août, mois traditionnellement dévolu aux vacances où nous évitons généralement d'aller promener nos anciennes. La durée de cinq jours était également une première. Disons-le tout de suite, ce fut une belle réussite .
Geneviève et Joëlle ont été les secrétaires de cette belle randonnée et ont ramené forces notes pour proposer ce compte-rendu , témoin fidèle de nos aventures auvergnates.
Merci à toutes les deux.         

Saint-Nectaire
19 équipages sont au rendez vous dès 7h30, au parking de la Tour Vielle d'Alès pour un départ à 7h45.
 Remise des carnets de route, des plaques, et directives de Jean Louis pour cette
« première sortie de 5 jours ».
Pour éviter un convoi, 4 groupes sont constitués pour une question de sécurité.

Premier stress pour Gérard, qui a pris le départ de Montfrin avec sa Visa qui ne cesse de « brouter ». A Ales, petit diagnostic de « pro » : (overdose de wynn's). C'est le bon verdict, encore quelques « brout brout » sur une cinquantaine de kms......et la visa avait digéré le wynn's.

Nous prenons connaissance du carnet de route. En première page, nous lisons les quelques mots du Président Jean Claude, et de l'organisateur Jean Louis.
En 2ème page, les contacts utiles,  et ils le furent tout au long de la sortie.
En 3ème page, le nom et prénom de chaque participant,  le type du véhicule, l'année, et le numéro de chambre : bien vu ! Et la suite du carnet de route, nous allons la découvrir au fur et  mesure.


Le départ donné, nous prenons la direction Langogne.  Nous traversons différents villages, et prenons la route des Cévennes, pour découvrir de superbes paysages, agrémentés de tapis de bruyères en fleurs.

Première pause à Langogne.  Un café et une petite collation nous attendaient, préparés par Marie Claude, que nous avons tous appréciés. Merci.
 
 
 

 



Deux journalistes de Midi Libre étaient présents pour rédiger un article sur Nîmes Auto Rétro, des questions ont été posées aux propriétaires de certains véhicules et une photo de groupe a été prise devant nos anciennes voitures.                                

Nous prenons la route «de la lentille verte » direction  Le Puy en Velay. La  municipalité du Puy a mis à disposition de NAR  des places réservées sur le parking « Michelet ».

Les voitures bien rangées, les équipages sortent les tables, les chaises et glacières et prennent place sous les tilleuls de la place pour se restaurer.

Temps libre : visite de la Cathédrale Notre Dame de l'Annonciation du XI et XII siècles, classée au Patrimoine mondial de l'humanité par l'Unesco, et point de départ bien connu du pèlerinage de Saint-Jacques de Compostelle.
 Après avoir monté pas moins de 134 marches, encore un effort pour arriver à la Statue Notre Dame. Celle-ci mesure 16mètres et située à 757 m d'altitude.

Dans la vieille ville, deux dentellières présentent sur leur pas de porte leur savoir faire, en confectionnant de la dentelle aux fuseaux.

Il est temps de regagner les voitures.  Direction Saint Nectaire, en passant par la Chaise Dieu «sans s'asseoir »  comme précisé dans le cahier de route.

Vers 17h, les groupes arrivent à  Saint Nectaire, toujours sous le soleil, à l'hôtel « Logis de la Paix » où nous sommes accueillis par MARTIN,  qui nous souhaite la bienvenue et nous remet les clés des chambres.

Temps libre jusqu'à 19h30,  avant de nous retrouver pour un 1er apéritif , bien mérité après cette belle et longue journée.

Martin nous ouvre les portes du restaurant, où comme de coutume chacun cherche à se placer par affinité ; mais là, grande surprise, Martin en a décidé autrement, il a modifier les  habitudes, en nous plaçant au  hasard et en séparant les couples. Le dîner fut excellent et avons pu apprécier la tourte auvergnate.

2ème jour :  départ 9h30 pour le Lac Pavin

La Peugeot Coach 201D de 1936 est arrivée à bon port à Saint Nectaire. mais Paul souffre de l'épaule, car il n'existait pas à l'époque de direction assistée.
 5 minutes après le départ, Tonton met son clignotant et se gare. Mauvaise nouvelle : la Citroën Traction 11B ne va pas continuer le circuit, car un cardan a lâché.
 Tonton sera bien épaulé, et soutenu, et ainsi pourra continuer le circuit. Là aussi Tonton et Ginette continuerons la route dans d'autres véhicules, et la traction sera remorquée au garage de Saint Nectaire.

Nous arrivons au Lac Pavin situé à 1197m d'altitude, qui s'étend sur une superficie de 44ha.  Il est l'un des plus beaux lacs d'Auvergne avec une profondeur de 92 mètres.
Ce lac s'est formé dans le cratère d'un ancien volcan (maar) provenant de l'éruption du Puy Montchal.
 
Ensuite, nous traversons le Mont Dore, pour un pique nique sur le site « des Écuries de la Dordogne ».
Celui ci est très bien aménagé, nous en profitons pour déguster la cartagène de « Tonton » et  les sandwichs  préparés par le personnel de l'hôtel,  et quelques volontaires. Merci à tous.   
  Il commence à faire frais, nous reprenons les voitures pour se diriger vers le Puy de Sancy.

Depuis la station de ski, Jean Louis nous indique au loin la source de la Dordogne.
Pas de chance, 10 minutes plus tard, le brouillard arrivait et la pluie tombait. Plus rien n'était visible, nous retournons au Mont Dore, pour une visite libre. Là aussi un parking est réservé au club pour exposer les voitures.
 Retour sur Saint Nectaire, où nous retrouvons le soleil, ce qui permettra à certains de visiter l’église Romane datant du 12ème siècle,  les fontaines pétrifiantes (un art calcaire stupéfiant, visite incontournable dans un univers d'eau et de pierre), les grottes de Cornadore,
visite au casino, etc...voire même faire une partie de pétanque.....

Avant l'apéritif, Martin a prévu de nous faire déguster  les produits d'Auvergne, fromage, jambon, saucisson mais aussi l'occasion de passer commande et de ramener des produits du terroir.
Apéritif et dîner. Les couples et amis sont toujours séparés. Au menu, une soupe à la tomate, du canard confit et un dessert.  Après le café , Martin faisait découvrir ses petits alcools « maison ».


3ème JOUR  : départ 9h15, nous rejoignons la place Est du Lac Chambon qui a une profondeur de 6 mètres.

Prenons la direction  du  château de Murol, typique de l'époque médiévale, perché sur son éperon rocheux. Ce château est aujourd'hui la propriété de la commune, et il peut se visiter.
 
Vers 11h nous repartons en direction du lac d'Aydat, pour la pause déjeuner. Certains feront le tour du lac en suivant le circuit de 5.5 kms.
Le lac d'Aydat  est le plus grand lac naturel d'Auvergne situé à 837m d'altitude,  65 ha avec une profondeur de 15 mètres. C 'est un lac de barrage formé par la coulée de lave issue des Puys de la Vache et de Lassolas. Cette coulée du nom de « Cheire » date de plus de 8 500 ans.

Plateau de Gergovie (à 10 km au sud de Clermond Ferrand)  

« Vu de là-haut, l’Auvergne est d’une beauté incomparable avec tous ces volcans alignés comme une caravane de dromadaires » écrit Jean ANGLADE : le Pagnol Auvergnat !!!!
Ce plateau de basalte à 736m d’altitude offre une très belle étendue à 180° sur la plaine de la Limagne que ferment à l’horizon les Monts du Forez et ceux du Livradois.



 Haut lieu de la Guerre des Gaules.


Les phénomènes volcaniques ayant formé un belvédère remarquable, Vercingétorix bénéficiait d’une vue plongeante sur le Camp de César.
Ainsi, en 52 av JC, au cours de la fameuse bataille de Gergovie, les forces gauloises réussirent à repousser victorieusement les assauts des légions romaines.
Aujourd’hui cet endroit est couronné d’un monument commémoratif érigé par Napoléon III en l’honneur de Vercingétorix
Nous avons visité la Maison de Gergovie, un centre d’informations dédié à la géologie, à l’archéologie et à l’histoire du plateau.

Puis retour sur St Nectaire à travers de jolis paysages façonnés, fragmentés, brisés au cours de l’histoire géologique. L’émerveillement est au détour de chaque chemin : bocages, forêts de bouleaux, de sapins, étangs.

JOUR 4 : LUNDI 25 août : THIERS

Départ matinal avec le soleil à la découverte de THIERS à 60 km.
Xavier BURGUION Directeur de l’Office de Tourisme nous a réservé la Place de l’Hôtel de Ville pour l’exposition de nos belles anciennes pendant la visite guidée de la ville.
THIERS 12 000 habitants dans le département du Puy de Dôme, est étagé sur les flancs du ravin où coule la Durolle. Ce dénivelé important fournissait la force hydro motrice nécessaire à la papeterie et à l’émouture des couteaux. Ses chutes successives actionnaient de nombreuses coutelleries. On ne comptait pas moins de 140 chutes sur 3 km de parcours.    Ce sont les eaux de la Durolle qui ont fait la fortune de Thiers.
Xavier nous emmène à la Terrasse du Rempart qui offre un magnifique panorama sur la Limagne, les monts Dore et les monts Dômes.


A Thiers, les industries du papier (cartes à jouer) et du couteau y sont pratiquées depuis le XVè siècle, et si la première a presque disparu, la seconde maintient le renom de la cité.
L’essor de cette industrie se poursuit de nos jours, mais le travail du coutelier s’est modernisé et l’on ne voit plus, comme le représentait une image populaire, l’émouleur allongé à plat ventre sur sa meule, son chien couché sur les jambes pour lui tenir chaud.
Les progrès de la technique et l’électricité ont donné naissance à de puissantes usines. Cependant Thiers possède encore 300 fabricants ou artisans.
Outre la coutellerie traditionnelle, la fabrication s’étend aux instruments de chirurgie, articles en matière plastique, couverts, articles de cuisine, et plats en acier inoxydable, au décolletage et aux pièces détachées pour automobiles.
Ville du métal, Thiers offre une place de choix à la sculpture métallique contemporaine.
SAINT ELOY qui fut ministre de Dagobert est le patron des métalliers, des couteliers, des orfèvres.
Tout en bavardant, Xavier nous emmène dans la vieille ville aux rues étroites, tortueuses bordées de logis à pans de bois : la Maison du Pirou (et non pas du Birlou !!!) la Rue du Pirou avec la maison aux 7 poutres décorées des 7 péchés capitaux. Etc…
Ainsi, nous arrivons à la Maison des Couteliers : on y voit évoluer des artisans au cours des différentes phases de la fabrication d’un couteau «à la façon de Thiers» : forge, trempe, émouture, façonnage,  montage de manches, sculpture, gravure et polissage.
Le Musée de la Coutellerie retrace l’histoire des métiers de la coutellerie thiernoise et présente divers exemples de la production du XVè siècle à nos jours : étonnants couteaux fermants à usages multiples, prestigieux couteaux de table au manche en corne, en ivoire, en nacre ; ciseaux, rasoirs…..
La visite de la ville avec Xavier s’achève sur la Place Chastel.        
 Nous avons particulièrement apprécié ses explications et sa passion pour la région.            
 Pour ce moment des plus agréables,  Marie-Claude et Dominique le remercient chaleureusement en lui offrant une corbeille de produits provençaux. Xavier est ému de ce geste attentionné.
Devant la Mairie trône une fontaine de 5 m surmontée d’un automate-forgeron de 2 m de haut qui apparait toutes les heures et les égrène avec son marteau. Ce forgeron, symbole de Thiers, évoque l’industrie fondamentale de la ville : le travail du métal.
La création de ce jacquemart, œuvre de MICHELL et HARTMANN est une attraction touristique. On peut le voir et entendre ses sonorités exceptionnelles sur :


 La VALLÉE DES ROUETS (Moulins à aiguiser) pour les uns ou  ASSEMBLAGE D’UN COUTEAU pour les autres.

Pendant que 7 d’entre nous sont partis dans un atelier pour assembler un couteau, le reste du groupe se dirige à 3 km de Thiers le long de la Vallée de la Durolle  sur les traces des émouleurs : ces artisans travaillaient allongés sur une planche au-dessus de leur meule. Cette posture leur procurait davantage de force pour donner du tranchant à la lame.

 Extrait du livre de Jean ANGLADE « les Ventres Jaunes » (à cause du grès des meules projeté sur eux) :
1884 : L’hiver fut aussi froid que la belle saison avait été torride. La rivière se trouva prise par les glaces. Tous les matins, les ouvriers allaient les marteler pour dégager les roues à aube.
Dans les rouets, on allumait des poêles qui produisaient un peu de chaleur et … beaucoup de fumée.
Heureusement, chaque Ventre Jaune a sa bouillotte particulière. Il s’agit d’un chien sans race, résultat de trente-six mille croisements et dressé à ce manège : dès que le maître est allongé, hop ! La bête fait un saut et se couche sur ses mollets. Sa longue fourrure tiède et crasseuse le protège de l’engourdissement.

Un chien, c’est plus aimable qu’un poêle, ça ne fume pas, ça mange, ça dort, ça te connaît, ça pleure quand tu le quittes, ça rit à ton retour. Il s’est tellement frotté à toi, à ta planche, à ta meule que lui aussi a le ventre jaune. Tu peux lui confier tes ennuis, il ne répète rien.
Un chien d’émouleur, c’est comme un petit frère.
Son seul inconvénient est d’ordre fiscal. Car la Mairie prélève un impôt, c’est le garde champêtre qui le collecte.
Chaque fois la discussion est la même :
-          Combien qu’on te doit ?
-          Catégorie « chien d’agrément » : dix francs.
-          Chien d’agrément ? Tu te fous de nous.
-          J’ai trois tarifs : Chien de garde : trente sous ; Chien de chasse : quarante sous ; Chien d’agrément : dix francs. Les vôtres ne chassent pas, ils ne gardent rien, ils vous chauffent les fesses. Les fesses au chaud : c’est de l’agrément : dix francs.
-          C’est un chien de travail !
-          Le travail n’est pas prévu pour les chiens. Dix francs : c’est la loi !
-          La loi ! La loi ! mais la loi est têtue comme un âne rouge. On se demande quelle raison est la vôtre de taxer ainsi ces bêtes qui font comme qui dirait partie de la famille.
-          Pourquoi pas un impôt sur la femme, sur les enfants, sur la belle-mère ? Voilà une idée que tu transmettras de ma part à la Mairie !...............

Les ateliers ou rouets ont été progressivement désertés à partir des années 1930.
Aujourd’hui, le site offre l’image d’une nature sauvage marquée par la patience et la ténacité des générations de couteliers.
En entrant dans le dernier rouet en activité jusqu’en 1976 « Chez Lyonnet », nous avons pu voir tourner la roue, entendre claquer les courroies, les poulies.
Les femmes au 1er étage polissaient les lames, elles aussi, à plat ventre sur des planches.
Enceintes, elles travaillaient jusqu’à  6 ou 7 mois de grossesse, d’où beaucoup de prématurés et de bébés appelés « plat » car ils naissaient le visage complètement aplati.

La visite de ces anciens rouets  de la Vallée de la Durolle fut pour nous une découverte pleine d’émotion et révélatrice d’une époque révolue.

Pendant ce temps, nos apprentis-couteliers ont assemblé leur propre « couteau fermant : le THIERS » avec lame d’acier inox 18.8 et manche en olivier.
Nos couteliers d’un jour ont été pris en charge durant 1h30 par des animateurs pour les opérations de montage, assemblage, polissage.
Un gravage personnalisé parachèvera l’œuvre de chacun ….. Qui en tire une fierté évidente auprès du groupe  ébahi … ÉVIDEMMENT !!!!!!!!

C’est dans la joie et la gaîté que le retour s’effectue sur St Nectaire.

A l’hôtel de la Paix, nous passons une dernière soirée conviviale.
Nous remercions l’hôtelier Martin et son équipe pour son accueil si chaleureux.
Jean-Louis, intarissable, clôture la soirée en un chapelet de congratulations aux uns et aux autres …… tandis que le Secrétaire Gilles, ainsi que Paul  Président d’honneur essaient de reprendre la parole pour remercier les organisateurs …notamment…. Jean-Louis !!! et Dominique.
Merci aussi à Gilles et Marie-Claude.
 
JOUR 5 : MARDI 26 août : Retour avec halte à Châteauneuf-de Randon

330 km à parcourir : tel est le programme de la journée pour rejoindre nos pénates. Si une certaine morosité habite chacun de nous en cette fin de séjour, une météo exécrable nous aide à quitter les lieux dès 8 heures.
Tous les essuie-glaces sont en action sauf un petit problème sur la traction de Francis, bien vite résolu avec du ruban adhésif orange. (Merci Benoît)
Direction le Sud en passant par Issoire, Brioude, Vieille Brioude, Langeac, Saugues, Grandrieu et enfin arrêt à Chateauneuf-de-Randon.
Ouf, cette halte-restaurant lozérienne est la bienvenue. C’est à l’Hôtel de la Poste, renommé par son cadre et sa cuisine, que notre Président et Myriam doivent nous rejoindre. Nous apprenons qu’ils roulent avec Gilles et Martine dans l’Excalibur.  Francis Pou les accompagne également.
Nous nous dégourdissons les jambes autour du monument dressé à la mémoire de Du Guesclin mort ici le 14.07.1380
La légende veut qu’au retour d’une bataille, il se soit désaltéré à la Fontaine de la Clauze. La chaleur et la rudesse du combat associées à une eau trop froide aurait provoqué une congestion.
Il est 13 h et les estomacs crient famine ; nous apprenons que  les autorités de NAR sont sérieusement retardées, alors, sans eux, nous attaquons le repas. Enfin à 13h30 ils arrivent avec une gêne non dissimulée … comme des enfants venant de faire une bêtise.
Je vous le donne en 1000 … ils ont eu …tenez-vous bien :
UNE VULGAIRE PANNE …D’ESSENCE.  Yves fut la cible de moult plaisanteries
En fin de repas, notre Président remet à tous les pilotes et co-pilotes un certificat de bonne humeur et de participation active.
15h : le convoi s’ébranle pour attaquer les 70 kms  à parcourir pour atteindre Florac, via Mende : lieu de dislocation du groupe.
Mais …STUPEUR…à une encablure de Florac sur les routes sinueuse des Cévennes, la roue avant gauche de la Triumph de François et Isabelle se fait la malle !!! Heurte la falaise, rebondit, ricoche et finit sa course dans le ravin à droite…..
Ayant pu arrêter son véhicule sans trop d’encombre, François, stoïque, avec la solidarité des copains arrive à refixer la roue de …l’infortune. Émotion assurée, mais sans conséquence fâcheuse heureusement.
(Montage Benoit)
De ce fait, la traditionnelle photo de fin de balade n’a pu être réalisée, mais chacun d’entre nous gardera de superbes images en tête et de merveilleux souvenirs de ces 5 jours passés ensemble en Auvergne.
Encore MERCI aux organisateurs.